- Industry: Art history
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The process of joining two pieces of metal by softening or melting both surfaces to be joined by the application of heat.
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A printmaking method distinct from woodcut in that the line is incised into the woodblock, rather than the background being cut away to leave a line in relief. So it is an intaglio method. Wood engraving is usually done on the end grain of a block of boxwood, which is very hard, and so extremely fine detail is possible. Wood engraving became widely used in the nineteenth century as a method of reproducing pictures in books, newspapers and journals before the invention of photo-mechanical methods of reproduction, but was also occasionally used by artists, such as Edward Calvert, as an original printmaking medium.
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A method of relief printing from a block of wood cut along the grain. The block is carved so that an image stands out in relief. The relief image is then inked and paper placed against its surface and run through a press. It is possible to make a woodcut without a press (Japanese Ukiyo-e prints for example) by placing the inked block against a sheet of paper and applying pressure by hand. Woodblock printing was used in Europe from the twelfth century, at first for printing textiles, though images were printed on paper by the late fourteenth century.
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In the late 1980s British art entered what was quickly recognised as a new and excitingly distinctive phase, the era of what became known as the YBAs—the Young British Artists. Young British Art can be seen to have a convenient starting point in the exhibition Freeze organised, while he was still a student at Goldsmiths College in London in 1988, by Damien Hirst, who became the most celebrated, or notorious, of the YBAs. Goldsmiths, which was attended by many of the YBAs, and numbered Michael Craig Martin among its most influential teachers, had been for some years fostering new forms of creativity through its courses that, for example, abolished the traditional separation of the media of art. The label YBA turned out to be a powerful brand and marketing tool, but of course it concealed huge diversity. Nevertheless certain broad trends both formal and thematic can be discerned. Formally, the era is marked by a complete openness towards the materials and processes with which art can be made and the form that it can take. Leading artists have preserved dead animals (Damien Hirst), crushed found objects with a steamroller (Cornelia Parker), appropriated objects from medical history (Christine Borland), presented her own bed as art (Tracey Emin) made sculpture from fresh food, cigarettes, or women's tights (Sarah Lucas), made extensive use of film, video and photography, used drawing and printmaking in every conceivable way, increasingly developed the concept of the installation (a multi-part work occupying a single space), and not least, refreshed and revitalised the art of painting.
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Group Zero or Group O, often referred to simply as Zero. German group formed in Dusseldorf in 1957 by Otto Piene and Heinz Mack, joined in 1960 by Gunther Uecker. A number of other artists were associated or exhibited with Zero, most notably Yves Klein and Jean Tinguely, as well as Pol Bury and Daniel Spoerri. The name refers to the countdown for a rocket launch and according to the group is meant to evoke 'a zone of silence (out of which develops) a new beginning'. Zero was in reaction against the subjective character of the prevailing Tachisme or Art Informel and practised a form of Kinetic art using light and motion that they felt opened up new forms of perception. Three issues of a journal, Zero, were published, in April and October 1958 and July 1961. The group dissolved in 1966.
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Parfois connu comme le nouveau mouvement de Negro, la Renaissance de Harlem a été la floraison de la magie noire, de littérature et de musique aux États-Unis et en particulier, Harlem, New York, dans les années 1920. Son idée principale était que grâce à la production d'art, de littérature et de musique, le Negro « nouveau » pourrait contester l'imprégnant le racisme et les stéréotypes de la communauté blanche et donc promouvoir l'intégration raciale. Parmi les artistes liés au mouvement, Aaron Douglas et Lois Mailon Jones.
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Un groupe radical des jeunes artistes au sein de l'Institute of Contemporary Arts (ICA) à Londres. L'Independent Group, ou IG, a organisé la première fois au cours de l'hiver 1952-3, puis en 1953-4. Il a été responsable de la formulation, la discussion et la diffusion d'un grand nombre des idées fondamentales du British Pop art et de beaucoup d'autres nouvelles britannique art dans les années 1950 et 1960. Principaux artistes impliqués ont été Richard Hamilton, Nigel Henderson, John McHale, Eduardo Paolozzi et William Turnbull. L'IG a également inclus le critique Lawrence Alloway et Rayner Banham et les architectes Colin St John Wilson et Alison et Peter Smithson (voir Brutalisme). En 1953, l'IG mis en scène l'exposition parallèle de l'Art et la vie et en 1956 la révolutionnaire que c'est demain. Cette exposition à la Galerie Whitechapel à Londres était une expression d'intérêt pionnier de l'IG dans la culture populaire et commerciale. Comme Alloway a dit: "films, science fiction, publicité, musique Pop. Nous ressenti aucun de l'aversion pour l'élevage commercial standard parmi la plupart des intellectuels, mais il a accepté comme un fait, discuté en détail et il consommé avec enthousiasme ". C'est demain consistait en une série d'environnements, et un juke-box lues en continu.
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Également décrit comme des environnements, le terme est utilisé pour décrire les constructions mixtes ou assemblages généralement conçues pour un lieu précis et pour une période temporaire. Œuvres occupent souvent un espace chambre ou Galerie tout entier que le spectateur a invariablement à traverser afin de s'engager pleinement dans le œuvre d'art. Toutefois, certaines installations, visent simplement à être promené et envisagé ou sont tellement fragiles qu'elles ne peuvent être visualisés d'une porte, ou de l'une des extrémités d'une pièce. Art de l'installation est sorti de la forme antérieure de l'environnement. L'un des initiateurs des environnements a été l'artiste américain Allan Kaprow dans les œuvres dès environ 1957. Dans une interview non datée, publiée en 1965 Kaprow dit de son premier environnement: ' je remplis tout simplement la Galerie entière — lorsque vous avez ouvert la porte, vous avez trouvé vous-même au milieu d'un ensemble de l'environnement — les matériaux étaient variés : froissé de feuilles de plastique, cellophane, enchevêtrements de Scotch, sections de barré et recouvertes en émail et des morceaux de tissus colorés. "Il y avait aussi des lumières accrochées dans tout cela et ' cinq magnétos répartis dans l'espace joué des sons électroniques dont j'avais composé. « Divers matériaux (mixte), son et lumière sont restés fondamentales à l'art de l'Installation. De celle lors de la création d'installations est devenu un volet important dans l'art moderne, plus en plus depuis environ 1990, et ont fait de nombreux artistes. En 1961 à New York, Claes Oldenburg créé un environnement précoce, The Store, d'où son compteur et plaques avec pomme de terre et jambon vient. L'un des créateurs d'installations utilisant la lumière exceptionnelles est James Turrell.
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Terme utilisé pour décrire la culture du règne de Jacques I (qui régna de 1603-25) en particulier le théâtre (et même meubles) ainsi que de la peinture. Grand miniaturiste élisabéthaine Hilliard continue mais a réussi à la faveur royale par Oliver. De même, Gheeraerts prospéré mais dépassé par le naturalisme plus sophistiqué d'origine hollandaise Van Somer et puis Mytens (prononcés mitaines) environ 1616.
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Moulage de sculpture en bronze et les différentes techniques de la gravure, ont pendant des siècles a permis de faire plusieurs exemples d'une œuvre d'art. Chaque exemple d'une édition d'une estampe ou une médaille de bronze est une œuvre authentique de l'artiste, bien qu'il peut y avoir des variations techniques susceptibles d'affecter la valeur. Le nombre obtenu est habituellement strictement limité, principalement pour des raisons commerciales mais, dans le cas d'eaux-fortes en particulier, aussi pour des raisons techniques — gravure plaques portent très rapidement, donc des impressions plus tard sont inférieures. Vers 1955, les artistes Jean Tinguely et Agam, désireux de rendre leur travail plus largement disponibles, a avancé l'idée de très grandes, effectivement illimitées, éditions de œuvres qui pourraient être vendus à très bas prix. Ce sont eux qui semblent avoir inventé le terme multiple pour ces travaux, qui serait faite par des procédés industriels. Les multiples premières furent finalement produits par la Galerie Denise René à Paris, en 1962 et depuis alors un grand nombre d'artistes ont créé de multiples.
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